Dans ce processus, les déchets d’acide sont scindés thermiquement en dioxyde de soufre et en eau dans un incinérateur d’acide sulfurique.
La température de procédé nécessaire à cette fin peut atteindre 1600 °C. Ici aussi, les conditions limites critiques résultent de l’atmosphère hautement corrosive (SO₂), des températures possibles sous le point de rosée, du fonctionnement continu/discontinu ainsi que des cycles de température. En outre, il faut s’attendre à une formation accrue de laitier en raison des impuretés contenues dans les déchets d’acide (sels métalliques).
Le choix de matériaux réfractaires appropriés à faible porosité ouverte, de matières premières résistantes aux alcalis et l’utilisation de composants de liaison chimique sont essentiels.
Sur la base des conditions de traitement respectives, nous développons des conceptions réfractaires et de revêtement détaillées. Sur la base des plans de construction métallique et des données de processus fournies, nous développons l’ingénierie réfractaire spécifique pour l’agrégat concerné.
L’ingénierie comprend naturellement des concepts de construction des murs et les plans d’installation, ainsi que les calculs de transition thermique et les recommandations en matière de chauffage pour la mise en service ultérieure.